Le Pont de Claix est une commune marquée par un passé industriel glorieux, mais qui a également généré, au fil du temps, une certaine paupérisation de sa population. C’est ce qui explique la priorité accordée par Christophe Ferrari, le Maire du Pont de Claix, aux actions de solidarité et de soutien des différentes franges de la population, et ce, bien avant la confrontation de la commune aux contraintes de la crise sanitaire du Covid.
La ville doit son nom au Pont Lesdiguières, ouvrage du XVIIe siècle classé monument historique et répertorié parmi les 7 merveilles du Dauphiné, qui enjambe le Drac et relie la commune à sa voisine de Claix. Son histoire est liée à sa situation et à sa géographie, tout autant qu’au passé industriel de l’Isère. Une ville qui se situe aujourd’hui au carrefour entre un passé industriel glorieux et la perspective d’une ville à la fois populaire, solidaire, accueillante pour les familles et orientée vers une transition écologique concrète et de bon sens car populaire. Autant de raisons qui ont conduit le Maire de Pont de Claix et son équipe municipale à privilégier les actions de solidarité et de soutien aussi bien pour les jeunes, les seniors que pour les commerçants, actifs, demandeurs d'emploi et différentes franges de la population concernée.
Au-delà des actions initiées par le Pont de Claix, c'est toute une stratégie de sensibilisation à l'esprit de solidarité entre tous qui semble guider les initiatives de la ville sur le terrain. Une offre scolaire de qualité, des crèches collectives sans attente, des repas plafonnés, un EHPAD municipal avec places d’accueil de jour, un « Pass Sport Culture » permettant l’accès au sport et à la culture « pour tous », un collège pilote « Pole inclusif d’accueil local » pour l’éducation, un complément minimum garanti pour les étudiants et les personnes âgées ou encore des services d’aide d’urgence pendant les phases de confinement, sont autant d’actions composant la palette d’avantages assurés pour les pontoises et pontois.